AGRIAL (cf chiffres clés) a de très gros appétits (cf article du Ouest France du 17/07/2015). Prendre des parts de marché est sa priorité.
L’expérience montre que ce jeu est sans fin et finit souvent en faillite payée par les éleveurs.
Cultiver des terres au Maroc ou au Sénégal, ce n’est sûrement pas pour améliorer le revenu de ses adhérents qui devront se contenter rapidement du salaire d’un sénégalais.
A jouer le double jeu, nos grosses coopératives délocalisent l’agriculture mais continueront à nous garder sous perfusion. Elles ne sont plus apporteurs de solutions.
Les manifestations quotidiennes des éleveurs (cf Ouest France en ligne de ce jour) n’est pas leur premier problème. Nos coops boxent dans l’international. PR