« On y croit toujours sinon on ne ferait rien » déclare Soizig Le Gall Palmer, Présidente de l’armement Bigouden (Lire ICI Le Télégramme)
De même les éleveurs de porcs veulent y croire mais pour combien de temps encore ?
Comme pour les pêcheurs l’état espagnol soutient ses producteurs de porcs avec beaucoup de souplesse dans la lecture des normes en plus des subventions européennes. Le développement de leur production (+5 % par an) se fait à nos dépens.
Au nord, les allemands, leur concurrence n’est pas » la plus loyale possible « . (Lire ICI Breizh Europe)
Sérieusement on doit craindre pour l’avenir de la filière porcine française.
La France pour le maintien de ses producteurs doit se protéger à la manière des autres pays européens.
La seule solution est de rendre obligatoire la traçabilité du porc conventionnel que l’on doit labelliser d’une part et d’autre part la propriété de la qualité ne doit appartenir qu’aux éleveurs. Il existe bien la propriété intellectuelle de la culture (musique, cinéma, livres..)
Notre président d’Inaporc aurait-il peur de contrarier des amis parisiens qui l’empêchent d’aller au delà d’un constat (Lire ICI Le Télégramme) qui laissera la production porcine à des groupes financiers comme en Espagne.
P.R