Que le métier serait doux si l’amour était dans le pré (Lire ici Terra)
Pavé de bonnes intentions le SPACE se voulait enfin porteur du « bien être de l’éleveur » autant que celui des animaux (Lire ici)
Il n’a pas réussi à l’imposer, les médias enfonçant un peu plus le clou de leurs idéologies (Lire ici )
De leur côté, les responsables administratifs qualité qui ne pratiqueront jamais, incitent les éleveurs à faire plus sans la rémunération (Lire ici)
Augmentant notre prix de revient avec un marché ouvert à tous nos concurrents, la France délocalise son élevage avec sa politique de prix bas. (Lire ici)
Nous le constatons concrètement avec les cochons allemands et espagnols qui pèsent sur nos prix.
Le MPB et le VPF ont depuis un an permis de limiter les dégâts, mais il ne suffit pas d’un claquement de doigt pour afficher un cours à 1,55 Euros.
Trop de nos responsables professionnels ont tort de trembler devant des ONG qui valident l’abattage Halal, soit la pire des maltraitances animales. (Lire Marianne)
On tourne en rond avec les lois EGALIM , même les coopératives donnent les limites (Lire ici) pendant qu’avec les normes on n’en a pas fini (Lire ici les propos d’André Sergent )
Le « en même temps » des chambres d’agriculture n’est pas durable sauf à satisfaire Sandrine Rousseau.
- Soit elles décident de porter notre agriculture qui produit la meilleure qualité au monde pour nourrir 100% des français avec des éleveurs qui disposent de toutes les modernités du SPACE
- Soit elles décident de porter une agriculture de loisir avec Xavier Niel (Lire ici) réservée à 5% des français
L’orientation serait- elle déjà prise, à voir le profil des demandeurs d’exploitation ( lire ici) ou la « Une » qui met l’animal à l’égal de l’homme (Voir ici)
Le parallèle peut être fait avec le poisson exclu des cantines (Lire ici)
Dans ce pays on marche sur la tête !
P.R.