Un prix franco français du porc est possible à condition de le vouloir et de ne pas se laisser influencer par ceux qui vantent la mondialisation créatrice de richesse à leur seul profit (Lire ici l’édito de Didier Le Du « La mondialisation desheureuse » (Paysan Breton))
La valeur, ce n’est plus le produit, mais ce qu’il y a autour. Il nous faut se l’approprier.
Notre intérêt est de nous organiser nous même plutôt que d’attendre de l’aide ou du soutien de l’extérieur (Lire ici l’édito de Didier Le Du » Prix » (Paysan Breton)) et (Extrait du Terra du 28 septembre)
L’AOP que 90 % des éleveurs attendent doit être à la hauteur des difficultés à venir pour exister face aux puissants groupes financiers.
Elle doit contenir 100% des porcs produits y compris les différenciés (Lire La France Agricole) qui ne sont que des sous produits du porc conventionnel (Lire ici Les Bonnets Roses) qu’il faut valoriser à la hauteur des réglementations draconiennes françaises.
P.R.
