Les intellectuels qui osent sont tellement rares qu’on apprécie d’autant plus le plaidoyer de Sylvie Brunel. La vision passéiste des urbains relève du racisme, pour eux le travail des agriculteurs doit être ingrat, dur, manuel. Il faudrait qu’ils restent des ploucs (voir article), des bouseux et surtout qu’ils ne gagnent pas d’argent (voir article).
La « doxa » verte qui n’est pas écolo « tire à vue » sur les agriculteurs et les éleveurs. La France s’est tiré une balle dans le pied (voir article)
Etre producteur de porcs ou agriculteur est une promotion sociale qui dérange les intellectuels et les urbains.
Sans avoir fait les très grandes écoles :
- Il est le patron d’une entreprise familiale et est libre de ses choix ;
- Il propose aux consommateurs de la nourriture de haute qualité gustative, sanitaire et est le mieux disant au monde pour le respect de l’environnement et du bien-être animal ;
- Il est le garant de la souveraineté alimentaire de la France ;
- Il est créateur d’emploi et d’économie ;
- Il est le premier acteur de la beauté de nos campagnes.
En contrepartie, on pourrait en dire long sur la politique des écolos qui ruinent les producteurs bio (voir article) et qui profitent aux financiers import/export (voir article) et aux oligarques ukrainiens (voir article).
A leur tableau de chasse, deux élevages de 200 truies du Porzay qui ont vu leur arrêté annulé par le tribunal (voir article).
Pourtant leur dossier a été validé par les conseils municipaux et publics et par l’administration. Au regard de la loi, leurs élevages sont totalement en règles.
Aujourd’hui, comme cela ne leur convient pas, ils utilisent la justice pour imposer leur loi (voir article).
Cela ne concerne pas que l’agriculture. Ils attaquent tous les projets économiques menés, comme cela l’a été pour la Sill, Le Duff, le Stade Brestois …
Si l’oeil de Nono est symbolique (voir article), les futurs arrêts d’outils industriels sont enclenchés (voir article) et des projets abandonnés (voir article).
P.R.
