Le « mieux est l’ennemi du bien » (lire l’article)
Historique!! pour produire « mieux », LDC se met sous la coupe de L214 qui veillera à ce que les « progrès de LDC suivent une trajectoire cohérente » (lire article 1 – article 2)
– Tout ça pour le « bien » des producteurs polonais et brésiliens à qui l’on offre notre marché (lire l’article)
– La loi sur la souveraineté alimentaire est sensée nous protéger mais a-t-elle une chance d’être appliquée? (lire l’article)
– Les signataires de la pétition contre la loi Duplomb sont bizarrement moins regardant sur la qualité des produits importés (lire l’article)
– Si nous faisons le parallèle entre la dégradation de l’Etat, de l’école, des hôpitaux, … depuis 30 ans et les progrès faits par les éleveurs français dans le même temps, ceux-ci mériteraient beaucoup plus de reconnaissance de la part des consommateurs
– Le Finistère traditionnellement visé est le « meilleur élève en matière de cours d’eau » confirme Thierry Burlot (lire l’article).
– Les taux de nitrates sont divisés par deux. 90% des échantillons font moins de 32mg/l (lire l’article).
– Les excédents d’azote diminuent de 39% (lire l’article)
– Les antibiotiques ont pratiquement disparu des élevages.
– Pourquoi plutôt que de communiquer sur nos résultats, des directeurs et des présidents préfèrent faire « mieux » avec de nouveaux cahiers des charges et subir le sort des producteurs de volailles?
– A ce rythme, il n’y a pas besoin de L214 pour s’autodétruire.
Le « mieux est l’ennemi du bien »
P.R