Normes, lois, enquêtes, l’inflation française

Les producteurs de porcs sont les plus touchés. Si le prix du porc est attrayant au MPB, le prix de l’aliment normalisé et la qualité de nos porcs reconnue, le volet sociétal est devenu mission impossible.

Si les PME frisent le « burn out » (lire l’article 1 « Le Télégramme », article suite), elles peuvent encore répercuter les coûts de leur bureaucratie (lire l’article).

La bureaucratie est le cancer de l’économie, elle est partout :

– dans l’administration (lire l’article « L’Express »)

– dans l’éducation nationale (Parcoursup)

– dans les loisirs (lire l’article)

– dans les projets d’entreprises (lire l’article)

– dans le MEDEF, faute de temps réduit à un syndicat de cadres (lire l’article)

– dans la pêche, « pas assez d’humain, trop de bureaucratie » (lire l’article « Le Télégramme »).

La bureaucratie est rentrée dans nos organisations : trop de cadres administratifs veulent encore anticiper avec une réglementation dont il y a de quoi en redire (lire l’article « La France Agricole ») et ouvre un boulevard aux importations (lire l’article). Trop de présidents fragilisés vivent avec la peur de s’exprimer et les éleveurs, comme les PME, frisent le « burn-out ».

La bureaucratie et les ONG ont le même combat : celui de réduire à néant l’élevage français.

Les médias avec leur publicité massive pour le film « Les algues vertes » (lire l’article « Le Télégramme »), en partie financé par la région, accompagne les actions chocs de 15 personnes (?) devant la Préfecture (lire l’article « Le Télégramme). Un vrai coup de poignard.

Il faut une volonté politique de nos organisations pour garder notre souveraineté alimentaire.

A Porélia, les producteurs sont soucieux de protéger un environnement, une alimentation de qualité pour tous et déterminés à être là demain.

P.R

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