On se moque des paysans

Les restructurations sont normales pour tous les secteurs d’activités y compris les communes. Seuls les éleveurs devraient continuer à travailler pour 350 Euros par mois.

Alors que les regroupements améliorent les conditions de travail et réduisent l’impact environnemental, des gens au statut plus que confortable veulent imposer leur vision : des petits élevages avec des méthaniseurs qui plus ils sont grands plus ils sont efficaces (Lire ici Le Télégramme)

C’est la solution de repli et c’est la première marche d’une mort annoncée et c’est ce que pense Philippe Dessertine (Lire ici Le Paysan Breton)

L’alternative du même auteur c’est d’aller à la conquête d’un marché international.

Certains responsables professionnels qui voyaient leur salut dans les états généraux de l’alimentation sont dans le repli avec des cahiers des charges qui trompent le consommateur et pénalisent le producteur.

Comment peuvent-ils faire l’impasse sur les accords du CETA et l’UE-MERCOSUR (Lire La France Agricole)

Le marché français est juridiquement ouvert à tous.

Si l’AOP ne se fait pas rapidement pour le commerce et la qualité, la filière bretonne ne sera qu’un musée comme cela est  déjà enseigné dans les écoles de la République.

P.R.

 

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