L’interprétation de l’écologie est à géométrie variable. La multiplicité des courants écolos est le fruit de divers intérêts financiers bien calculés et des stars.
Ainsi la course au tourisme spatial (Lire Le Télégramme) est promotionnée par les écologistes.
Installer un parc éolien sur un parc de coquilles Saint Jacques pour donner la lumière aux cochons toute la journée n’est pas très écologique.
Depuis 20 ans, ils demandent toujours plus aux agriculteurs et le drame est que nos organisations se croient obligées de les suivre aveuglément.
En contrepartie de subventions, Le Président de la Chambre d’Agriculture veut faire « débrousailler les chemins pour accéder aux talus » (Lire Terra) par les agriculteurs. Il devrait regarder L’état des ruisseaux à l’abandon depuis qu’on en a écarté les éleveurs.
Autre dossier chaud : Les phytos : La Chambre d’Agriculture transforme la séparation du conseil et de la vente en une opportunité financière qui viendra parasiter l’objectif. (Lire La France Agricole)
Et pendant que la société s’avance vers la semaine à 4 jours les chambres d’agriculture font du zèle, oubliant les éleveurs présents 7 jours sur 7.
Pourtant « On ne répètera jamais assez combien nos métiers ont de l’avenir » : La tribune du Président de la FDSEA 29 dans Le Télégramme (Lire ici) reprend la vision de PORELIA pour l’avenir.
P.R.